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L'Ordre des Dames

L'Ordre des Dames
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8 juin 2008

Contacts

Dame Laurence: 04.93.79.50.38
Dame Céline: 06.89.75.72.65
Dame Elisabeth: 06.31.47.55.22

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4 février 2008

Des jeux médiévaux

Durant les réunions de la confrérie, des jeux médiévaux seront organisés afin que dames et chevaliers puissent exercer leur force, leur adresse et leur esprit. Si toutefois, vous avez des idées de jeux médiévaux simples à réaliser, n'hésitez pas à nous faire parvenir vos idées. Ci dessous, les liens vers les explications et les schémas de quatre jeux, qui je l'espères, seront présent lors du prochain rassemblement de la Confrérie Massis le 29 Mars.

1__Jeu_du_cercle_

2__Le_fer_à__cheval_

3__La_corde_

4__Duel_en__equilibre_

(Cliquez sur le lien puis agrandissez l'image avec la petite loupe)

En bonus une petite enigme afin de vous exercer pour le jour J, car il y en aura d'autres...

Enigme_1_

28 novembre 2007

Que seraient les Chevaliers Massis sans leurs Dames ?

Avant toute chose, il semble nécessaire de faire un peu d’histoire afin de situer la femme à l’époque des chevaliers. Et pour cela, il convient de commencer ce court récit sur les hommes eux même.

La chevalerie est une caste supérieure de guerriers au code moral très strict.

Les chevaliers n’ont jamais fait partie de la grande classification qui va de soi au Moyen Âge car, au départ, ils sont recrutés dans toutes les classes sociales.

Même si tous deux font la guerre, il ne faut pas confondre chevalier et soldat : le chevalier ne touche pas de solde.

Ils sont des spécialistes de la guerre, rassemblés autour des maîtres du pouvoir, les aidant à défendre le territoire et à maintenir la paix. La guerre de l’époque médiévale est intégrée à la vie quotidienne. Elle provoque la misère et la famine du peuple. Chose courante pour les chevaliers, la courtoisie. 

 

 La courtoisie est un idéal de conduite à tenir à l’égard des dames et des demoiselles. C'est un code social qui inverse la hiérarchie traditionnelle et place la dame en position de supériorité par rapport à son ami. En échange de la dévotion totale qu’elle attend de lui, elle lui accorde son amour, plus souvent symbolique que concret…

 

 Pendant les trêves, les seigneurs s’habituent à la vie de cour. Puis, peu à peu, les mœurs subissent l’influence de l’univers féminin plus délicat. Sous l’instigation de femmes de haut rang s’instaurent des cours d’amour où les artistes chantent la femme, idéalisée, parfaite, inaccessible. Bientôt s’impose le mot français dame, titre donné à la femme et soulignant son caractère de maîtresse. Suzeraine, la femme l’est en effet en amour.

L’amant courtois est séduit par la dame, une femme dotée d’une beauté et de mérites exceptionnels, qui est mariée, accomplie.

Ne se laissant pas dominer par ses désirs charnels, l’amant courtois gagnera le cœur de sa dame en lui témoignant un amour empreint de délicatesse et de retenue. Sa passion doit l’amener à surpasser son désir pour la dame afin d’éprouver pour elle un amour raffiné, profond, véritable, un amour transposé sur un plan supérieur.

 Ce sentiment incite le chevalier à se surpasser pour s’élever au niveau de sa dame : le cœur noble est l’idéal à atteindre pour l’homme.

Dans les tournois, les combats rangés où le chevalier défend les couleurs ou même l’honneur de sa dame, la vaillance du chevalier est toujours exigée, mais elle trouve désormais une expression amoureuse. En fait, l’amour devient source de toute vaillance et de toute générosité.

 Quand il aime, le chevalier courtois rend hommage à sa dame, elle devient la suzeraine de son cœur : il s’y soumet aveuglément. La loyauté à la dame passe avant celle au suzerain : il doit faire preuve d’une obéissance totale, d’une fidélité indéfectible. Cette soumission amène ainsi, pour le chevalier, le conflit qui oppose son amour à son honneur. Renoncer à l’honneur pour l’amour représente le sacrifice le plus grand qu’il puisse faire.

 Après la discipline, l’attente, les épreuves, le sacrifice de son honneur, le chevalier peut enfin s’abandonner au plaisir sensuel. En effet, les troubadours, idéalistes mais aussi réalistes, voyaient l’acte sexuel – mérité de la sorte – comme le sacrement de l’amour.

Voilà pour commencer...

23 novembre 2007

Les armes de la famille Massis

Sur champs d'azur,
Trois besants d'argent
Deux et un,
Sur mon tout de gueule
Un chevron d'or
Et trois besants de même

blason_Massis_final

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